La sucrerie - ALLEUREn 1879, par suite de l’essor de la culture de la betterave sucrière, on créa une petite sucrerie où les fermiers d’Alleur conduisaient leurs récoltes. Lorsque les moyens de communications s’améliorèrent (création de la ligne du vicinal Ans-Oreye), certains gros fermiers abandonnèrent Alleur pour livrer leurs betteraves à la raffinerie d’Oreye où les prix payés étaient plus élevés. La sucrerie d’Alleur qui ne possédait ni les capitaux nécessaires, ni une direction suffisamment dynamique pour maintenir son matériel à hauteur du progrès, a disparu. Les bâtiments furent rachetés par un chocolatier qui fit faillite. Ils passèrent alors aux mains d’actionnaires de la chocolaterie qui les acquirent et y fondèrent une confiturerie.https://bibliotheca.ans-commune.be/dossiers/vie-economique/patrimoine-industriel/la-sucrerie-alleurhttps://bibliotheca.ans-commune.be/dossiers/vie-economique/patrimoine-industriel/la-sucrerie-alleur/@@download/image/La sucrerie.jpg
La sucrerie - ALLEUR
En 1879, par suite de l’essor de la culture de la betterave sucrière, on créa une petite sucrerie où les fermiers d’Alleur conduisaient leurs récoltes. Lorsque les moyens de communications s’améliorèrent (création de la ligne du vicinal Ans-Oreye), certains gros fermiers abandonnèrent Alleur pour livrer leurs betteraves à la raffinerie d’Oreye où les prix payés étaient plus élevés. La sucrerie d’Alleur qui ne possédait ni les capitaux nécessaires, ni une direction suffisamment dynamique pour maintenir son matériel à hauteur du progrès, a disparu. Les bâtiments furent rachetés par un chocolatier qui fit faillite. Ils passèrent alors aux mains d’actionnaires de la chocolaterie qui les acquirent et y fondèrent une confiturerie.