Rue Edouard ColsonC’est dès 1715 qu’est créée la chaussée Liège-Bruxelles qui jusqu’en 1965, date de création de l’échangeur de Loncin, restera le principal axe routier traversant la commune. Cette chaussée devait être construite, au moins en partie, en faisant appel aux « corvées » dues par les habitants des localités riveraines. Il est symptomatique de constater que les habitants d’Awans et de Loncin refusèrent d’y collaborer et qu’en conséquence les « Etats » de Liège durent décréter (11 août 1716) que les travaux qu’ils auraient dû exécuter seraient terminés à leurs frais. En 1924, Loncin voulut honorer un de ses grands bienfaiteurs, Edouard Colson, en transformant le nom de Chaussée de Liège en Rue Edouard Colson. Décédé en 1919, ce philanthrope légua sa fortune à la Commune afin de faire construire un hospice pour vieillards, les mutilés et orphelins de guerre habitant la Commune de Loncin. C’était le home Colson (bâti en 1930) qui désormais accueille les services du CPAS.https://bibliotheca.ans-commune.be/dossiers/histoire/les-noms-de-rues/loncin/rue-edouard-colsonhttps://bibliotheca.ans-commune.be/dossiers/histoire/les-noms-de-rues/loncin/rue-edouard-colson/@@images/image-1200-9f860b9d79116a24df4bb413ac552739.jpegRue Edouard Colson
Rue Edouard Colson
C’est dès 1715 qu’est créée la chaussée Liège-Bruxelles qui jusqu’en 1965, date de création de l’échangeur de Loncin, restera le principal axe routier traversant la commune. Cette chaussée devait être construite, au moins en partie, en faisant appel aux « corvées » dues par les habitants des localités riveraines. Il est symptomatique de constater que les habitants d’Awans et de Loncin refusèrent d’y collaborer et qu’en conséquence les « Etats » de Liège durent décréter (11 août 1716) que les travaux qu’ils auraient dû exécuter seraient terminés à leurs frais. En 1924, Loncin voulut honorer un de ses grands bienfaiteurs, Edouard Colson, en transformant le nom de Chaussée de Liège en Rue Edouard Colson. Décédé en 1919, ce philanthrope légua sa fortune à la Commune afin de faire construire un hospice pour vieillards, les mutilés et orphelins de guerre habitant la Commune de Loncin. C’était le home Colson (bâti en 1930) qui désormais accueille les services du CPAS.